SEPTIME
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Le saviez-vous ? Au sein des hôpitaux et des maisons de repos, 4 patients sur 10 en chambre double ne sont pas satisfaits du confort et de la tranquillité des lieux [1]. Manque de lumière, nuisances sonores, mauvaises odeurs ou encore température inadaptée : les motifs d’insatisfaction sont non seulement nombreux, mais aussi préjudiciables pour la santé des patients. Il convient donc d’agir – sur 4 éléments principaux – afin de favoriser la convalescence des patients et des résidents. Une action d’autant plus indispensable qu’un environnement intérieur de mauvaise qualité peut également avoir impact sur le personnel soignant et sur la qualité des soins apportés.
L’amélioration du confort au sein des établissements de santé ne peut se faire qu’à travers une démarche globale, ciblant les principaux risques en présence. En la matière, les nuisances sonores constituent le plus souvent le chantier d’intervention prioritaire, tant ce facteur peut avoir un impact sur la santé et le bien-être des occupants.
À l’hôpital comme en EHPAD, il est primordial que le calme règne, tant il est vital à la convalescence et au bien-être des patients. Il faut dire que les performances acoustiques des bâtiments peuvent avoir de nombreuses conséquences, aussi bien sur les malades que sur le personnel soignant.
Alors que les établissements de santé ont l’obligation de présenter un niveau d’isolement acoustique compris entre 35 et 47 dB [3], le niveau sonore est en réalité deux fois plus élevé : il est en moyenne de 60 dB le jour et de 70 dB la nuit [2]. Face aux nombreuses menaces que représente un environnement bruyant, pour les patients comme pour le personnel, il est important d’adopter des mesures adaptées. En la matière, plusieurs solutions sont envisageables :
C’est la réduction moyenne des éveils nocturnes qui a pu être constatée suite au remplacement d’un plafond en plâtre par un plafond acoustique de classe A [2].
La question de la température est essentielle au sein des établissements de santé, tant les résidents et les patients ont généralement une activité limitée. La problématique est néanmoins complexe et demande réflexion puisque les occupants n’ont pas tous le même ressenti et que le personnel, pour sa part, a généralement un haut niveau d’activité.
Après le bruit, la performance thermique est certainement l’un des principaux motifs d’insatisfaction : 1 patient sur 4 se plaint en effet d’une température inadaptée au sein des établissements de santé [1]. Alors que ce constat pourrait paraître anecdotique, il est en réalité préjudiciable à plus d’un titre.
En raison des variations en été et en hiver, l’optimisation des qualités thermiques en établissement de santé se doit d’être mûrement réfléchie. Bien que chaque bâtiment soit confronté à des problématiques qui lui soient propres, plusieurs pistes sont généralement envisageables pour agir sur ce poste :
Parmi les facteurs de confort en établissement de santé, la qualité de l’air est celui qui a l’impact direct le plus évident sur la santé des patients et des résidents. Malgré cela, son importance est bien souvent sous-estimée, au détriment du bien-être des occupants.
Bien qu’elle soit plus difficile à identifier, la pollution de l’air intérieur a des conséquences généralement plus graves sur la santé des patients et du personnel. Un risque d’autant plus prégnant que les établissements de santé y sont particulièrement exposés.
des personnes ayant une profession médicale ou paramédicale présentent des signes d’asthme, soit l’un des taux les plus élevés parmi toutes les catégories professionnelles [5].
À condition de bien identifier l’origine du mal, les établissements de santé disposent de plusieurs leviers pour agir sur la qualité de l’air intérieur, ces derniers devant être employés conformément au cadre réglementaire en vigueur :
Sur des personnes fragiles, un défaut de luminosité aura bien souvent des conséquences physiologiques décuplées. Un risque dont il convient de tenir compte, et ce, bien qu’il soit généralement difficile à identifier et à percevoir.
La lumière joue sur de nombreux facteurs biologiques : le rythme circadien, le système immunitaire, la qualité de sommeil et même l’humeur. À ce titre, une luminosité adaptée peut avoir des bienfaits tangibles au sein des établissements de santé.
Plus que toute autre problématique, l’optimisation de la luminosité en hôpital et en maison de retraite ne peut se faire qu’au cas par cas. Seule une identification précise des troubles permettra en effet de faire le tri parmi les solutions envisageables :
Alors que les établissements de santé peuvent désormais disposer d’une note de satisfaction calculée par la Haute Autorité de Santé [1], l’amélioration du confort intérieur est plus que jamais essentielle. La problématique étant protéiforme, il convient d’adopter une démarche globale, allant du diagnostic à la mise en place des solutions préconisées. Fort de l’expérience de Sant-Gobain, Kandu propose un accompagnement de A à Z pour optimiser la qualité d’accueil et de services des hôpitaux et des EHPAD.
[1] Satisfaction des patients à l’hôpital et en clinique : la HAS publie les résultats 2017 – Haute Autorité de Santé – 2017
[2] Impacts du bruit sur les soins à l’hôpital – Ecophon Saint-Gobain – 2017
[3] Arrêté du 25 avril 2003 relatif à la limitation du bruit dans les établissements de santé – Legifrance
[4] Quelle température fait-il dans votre chambre d’hôpital ? – France Info – 2018
[5] La qualité de l’air intérieur dans les hôpitaux – Adèle Berrube et al. – 2011
[6] The effect of sunlight on postoperative analgesic medication usage: A prospective study of spinal surgery patients – Jeffrey M Walch et al. – 2005